Le volume IV du Tigre vient de sortir. Numéro d’été daté juillet-août, il sera en vente jusque fin août.

De couleur turquoise, et comportant 88 pages (toujours sans publicité), il propose notamment à son sommaire :

— un reportage à la première personne sur une maraude d’Emmaüs

— un témoignage poignant sur Bagdad, plus instructif que le seul décompte des morts de la guerre : la vie d’un employé de l’ONU dans la capitale irakienne

— la guerre civile en Irlande du nord racontée par un phénomène artistique étonnant : les peintures murales financées par les paramilitaires des deux camps

— la sémiologie amusée des publicités qui nous entourent : du lévrier de la Carte visa au petit chinois d’Emerson qui fabrique ses futurs jouets...

Le Tigre d’été, c’est aussi un almanach où la vie secrète de Diderot côtoie des mots croisés, un panorama de la production des diamants dans le monde, un feuilleton en bande dessinée, des « chiens écrasés » revus à la sauce littéraire par Eric Chevillard, un reportage photo au Pakistan, le service consommateur de Gerblé piégé par un faux client sans tonus, le portrait d’une couturière en voix brute, ...

Le sommaire complet se trouve sur cette page, et Le Tigre est en vente en kiosques (liste), en librairies (liste), ainsi qu’au numéro via un paiement sur internet (ici).